Alors je ne prétends pas être parfaite, et il arrive que malgré deux relectures de mes élucubrations je ne parvienne pas à spotter LA faute qui vous donnera envie de dégobiller. Mais quand même, j'essaie. Puis avouons que comme j'ai un peu tendance à écrire des articles aussi longs qu'un jour sans cupcake, c'est pas toujours simple...
Ce qui m'a poussé à écrire cet article, c'est cette confrontation quotidienne avec la mauvaise orthographe des gens, que ce soit sur Facebook, les blogs que je visite et même parfois dans les journaux. Ca me fait réellement mal au derrière, j'en grinçe littéralement des dents (et l'Homme m'entend souvent m'écrier: "Oh, ces gens qui sont pas capables d'écrire français ça me broute!"). J'entends déjà certains d'entre vous se dire que si c'est tellement dur pour moi, je peux aussi vendre tous mes meubles et aller faire l'ermitte dans une grotte, mais je peux pas, j'ai piscine.
Ce que je me pose comme question, surtout, c'est comment? Comment ça se fait que de plus en plus de gens semblent avoir du mal à faire la différence entre un ça démonstratif et un sa possessif? Comment est-ce qu'on peut zapper que quand il y a un je, on met pas de T à la fin du verbe? Comment peut-on oublier ce genre de choses? On nous les apprend à l'école, et, contrairement aux équations, on s'en sert au quotidien, ça devrait être ancré bien profond, et encore plus chez les personnes chargées de véhiculer un message aux masses.
Quand j'étais en journalisme à l'ULB, j'avais un super professeur, Mr Gergely.
Voilà, c'était mon coup de gueule du jour, si vous avez tenu jusqu'au bout: Bravo, voilà une gommette!
A bientôt!
PS: la direction n'est pas responsable pour les éventuelles fautes d'orthographe dans cet article (et si y en a pas: je vous l'avais dit que j'étais la meilleure!)